Русский след в Национальной галерее Лондона/ Les traces russes à la Galerie Nationale à Londres
par | Mai 8, 2019 |
Annotation
La collection de la National Gallery de Londres ne contient qu’une seule œuvre picturale de l’auteur russe Ilya Repin. Cependant, si vous regardez de plus près, on peut voir beaucoup plus de liens avec l’héritage russe.A l’origine de ce musée sont 38 peintures rassemblées par John Julius Angerstein. Il est né en 1732 à Saint-Pétersbourg. Sa mère était la tsarine russe Anna Ioanovna et son père était originaire de Londres, Andrew Thompson. À l’âge de 15 ans, John Julius se rendit à Londres et, vécut ici, non loin de la galerie où était exposée sa collection de peintures européennes. Quatre énormes mosaïques de marbre vous rejoignent dans l’escalier central de la galerie de l’artiste russe Boris Anrep, qui a d’ailleurs étudié au Edimbourgh College of Art pendant un an. Le maître y travailla pendant 30 ans, avant le début des années cinquante du vingtième siècle.
Traces of Russia in the National Gallery of London
The collection of the National Gallery in London contains only one work of a Russian author – Ilya Repin. However, if you look closer, you will see many more connections with Russian heritage.At the heart of the museum there are 38 paintings collected by John Julius Angershtein. Born in 1732 in Petersburg, his mother was Anna Ioanovna, a Russian Tsarina, and his father was a Londoner, Andrew Thompson. At the age of 15, John Julius went to London and lived not far from the gallery, where his collection of European paintings is now exhibited.The four enormous marble mosaics on the central staircase of the gallery also have a Russian connection. They were created by a Russian artist Boris Anrep, who worked on them for 30 years until the 1950s.